A
- A jeun perdue glacée (Jacques PRÉVERT)
- A l’enterrement d’une feuille morte (Jacques PRÉVERT)
- A la fin tu es las de ce monde ancien (Guillaume APOLLINAIRE)
- A mi-chemin de la cage au cachot la langue (Francis PONGE)
- A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, (Arthur RIMBAUD)
- A vous troppe legere (Joachin DU BELLAY)
- Adieu la Court, adieu les dames (Clément MAROT)
- Ah ! quel beau matin que ce matin des étrennes ! (Arthur RIMBAUD)
- Ah! je les vois déjà (Jacques BREL)
- Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages (Alphonse de LAMARTINE)
- Allez, je veux rester seule avec les tombeaux (Anna DE NOAILLES)
- Andromaque, je pense à vous ! (Charles BAUDELAIRE)
- Anne, ma soeur, sur ces miens Epigrammes (Clément MAROT)
- Araignée grise (Madeleine LEY)
- Assise, la fileuse au bleu de la croisée… (Paul VALÉRY)
- Au balcon fleuri (Gilles-Claude THERIAULT)
- Au fond des bois (Maurice CARÊME)
- Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées (Charles BAUDELAIRE)
- Aujourd’hui l’espace est splendide (Charles BAUDELAIRE)
- Autour du toit qui nous vit naître (Alphonse de LAMARTINE)
- Autrefois le rat de ville (Jean de LA FONTAINE)
- Aux galets le flot se brise (Jean MORÉAS)
- Avril ouvre à deux battants (Victor HUGO)
B
- Babillarde, qui toujours viens (Jean-Antoine de BAÏF)
- Bel aubepin verdissant (Pierre de RONSARD)
- Bien ressembles à la grenouille (Clément MAROT)
C
- C’est un trou de verdure où chante une rivière (Arthur RIMBAUD)
- C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit. (Jean RACINE)
- C’était, dans la nuit brune (Alfred de MUSSET)
- Ce sont les anges qui préparent (Jean COCTEAU)
- Ce toit tranquille, où marchent des colombes (Paul VALÉRY)
- Cet amour (Jacques PRÉVERT)
- Chacun a son défaut où toujours il revient (Jean de LA FONTAINE)
- Chargée (Paul ÉLUARD)
- Chez un tailleur de pierre (Jacques PRÉVERT)
- Christ (Blaise CENDRARS)
- Comme je descendais des Fleuves impassibles (Arthur RIMBAUD)
- Comme on voit sur la branche au mois de May la rose (Pierre de RONSARD)
- Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal (José-Maria DE HÉRÉDIA)
- Comment ça va sur la terre (Jean TARDIEU)
- Compère le renard se mit un jour en frais (Jean de LA FONTAINE)
- Contemple-les, mon âme ; ils sont vraiment affreux ! (Charles BAUDELAIRE)
- Coucher trois dans un drap, sans feu ni sans chandelle (Antoine Girard de SAINT-AMANT)
D
- Dame souris trotte (Paul VERLAINE)
- Damoiselle belette, au corps long et flouet (Jean de LA FONTAINE)
- Dans Arle, où sont les Aliscams (Paul-Jean TOULET)
- Dans l’alcôve sombre (Victor HUGO)
- Dans la plaine les baladins (Guillaume APOLLINAIRE)
- Dans le vieux parc solitaire et glacé (Paul VERLAINE)
- Dans les murs de la cité de la Muette (Nicolas GRENIER)
- Dans ma cervelle se promène (Charles BAUDELAIRE)
- Dans un square sur un banc (Jacques PRÉVERT)
- Dans un vieil étang (Matsuo BASHO)
- Dans Venise la rouge (Alfred de MUSSET)
- Dansons la gigue (Paul VERLAINE)
- De l’éternel Azur la sereine ironie (Stéphane MALLARMÉ)
- De la musique avant toute chose (Paul VERLAINE)
- De sa grâce redoutable voilant à peine l’éclat… (Paul VALÉRY)
- De toutes les belles choses (Gérard DE NERVAL)
- Déjà la première hirondelle (Alphonse de LAMARTINE)
- Déjà la vie ardente incline vers le soir (Anna DE NOAILLES)
- Déjà plus d’une feuille sèche (Théophile GAUTIER)
- Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne (Victor HUGO)
- Depuis que le soleil, dans l’horizon immense (Alfred de MUSSET)
- Deux pigeons s’aimaient d’amour tendre (Jean de LA FONTAINE)
- Devant une neige un Être de Beauté de haute taille (Arthur RIMBAUD)
- Dictes moy où, n’en quel pays (François VILLON)
- Dieu le veut, dans les temps contraires (Victor HUGO)
- Dieu qu’il la fait bon regarder (Charles D’ORLÉANS)
- Dieu vous gard’, messagers fidèles (Pierre de RONSARD)
- Dis-moi, ton coeur parfois s’envole-t-il, Agathe (Charles BAUDELAIRE)
- Dites, la jeune belle (Théophile GAUTIER)
- Douce plage où naquit mon âme (Paul-Jean TOULET)
- Du temps que la Nature en sa verve puissante (Charles BAUDELAIRE)
E
- Ecoutez la chanson bien douce (Paul VERLAINE)
- Elle a passé, la jeune fille (Gérard DE NERVAL)
- Elle est debout sur mes paupières (Paul ÉLUARD)
- Elle était pâle, et pourtant rose (Victor HUGO)
- En faisant la roue, cet oiseau (Guillaume APOLLINAIRE)
- En voyage, on s’arrête, on descend de voiture (Gérard DE NERVAL)
- Et la Mère, fermant le livre du devoir (Arthur RIMBAUD)
F
- Femme nue, femme noire (Léopold Sédar SENGHOR)
- Feu d’artifice en acier (Guillaume APOLLINAIRE)
- France, mère des arts, des armes et des lois (Joachin DU BELLAY)
- Frères humains qui après nous vivez (François VILLON)
H
- Hélas ! vais-je à présent me plaindre dans ces stances (Jean COCTEAU)
- Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage (Joachin DU BELLAY)
- Hier c’est la jeunesse hier c’est la promesse (Paul ÉLUARD)
I
- Il a dévalé la colline (Boris VIAN)
- Il a mis le café (Jacques PRÉVERT)
- Il dit non avec la tête (Jacques PRÉVERT)
- Il est des enfants (Titinga Frédéric PACERE)
- Il est enturbanné de soleil… (HAWAD)
- Il est grave : il est maire et père de famille (Paul VERLAINE)
- Il est terrible (Jacques PRÉVERT)
- Il est un air pour qui je donnerais (Gérard DE NERVAL)
- Il faut, autant qu’on peut, obliger tout le monde (Jean de LA FONTAINE)
- Il pleure dans mon coeur (Paul VERLAINE)
- Iles (Blaise CENDRARS)
- Ils te prendront, petit oiseau sauvage (Louisa PAULIN)
- Incertitude, ô mes délices (Guillaume APOLLINAIRE)
J
- J’ai longtemps habité sous de vastes portiques (Charles BAUDELAIRE)
- J’ai mis mon képi dans la cage (Jacques PRÉVERT)
- J’ai perdu ma force et ma vie (Alfred de MUSSET)
- J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans (Charles BAUDELAIRE)
- J’ai raté (Lise DEHARME)
- J’ai voulu ce matin te rapporter des roses (Marceline DESBORDES-VALMORE)
- J’aime l’âne si doux (Francis JAMMES)
- J’espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir (Alfred de MUSSET)
- J’irai, j’irai porter ma couronne effeuillée (Marceline DESBORDES-VALMORE)
- J’habite une ville si candide (Anna GREKI)
- Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant (Paul VERLAINE)
- Je fis un feu, l’azur m’ayant abandonné (Paul ÉLUARD)
- Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées. (Arthur RIMBAUD)
- Je m’obstine à mêler des fictions aux redoutables réalités (Paul ÉLUARD)
- Je n’aime pas dormir quand ta figure habite… (Jean COCTEAU)
- Je ne suis qu’un viveur lunaire (Jules LAFORGUE)
- Je puis mourir ce soir! Averses, vents, soleil (Jules LAFORGUE)
- Je serai triste comme un saule (Georges BRASSENS)
- Je suis allé au marché aux oiseaux (Jacques PRÉVERT)
- Je suis Gabriel Péri (Nicolas GRENIER)
- Je suis le ténébreux, le veuf, l’inconsolé (Gérard DE NERVAL)
- Je suis venu, calme orphelin (Paul VERLAINE)
- Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne (Charles BAUDELAIRE)
- Je t’apporte l’enfant d’une nuit d’Idumée (Stéphane MALLARMÉ)
- Je vis, je meurs : je me brule et me noye (Louise LABÉ)
- Je vous envoie un bouquet que ma main (Pierre de RONSARD)
- Jeanne songeait, sur l’herbe assise, grave et rose (Victor HUGO)
L
- L’amiral Larima (Jacques PRÉVERT)
- L’été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte (Victor HUGO)
- l’heure viendra (Colette Sènemi Agosssou HOUETO)
- L’odeur de mon pays était dans une pomme (Lucie DELARUE-MARDRUS)
- La batteuse est arrivée (Jacques PRÉVERT)
- La biche brame au clair de lune (Maurice ROLLINAT)
- La chair est triste, hélas! et j’ai lu tous les livres (Stéphane MALLARMÉ)
- La chambre est veuve (Guillaume APOLLINAIRE)
- La Cigale, ayant chanté (Jean de LA FONTAINE)
- La connais-tu, Dafné, cette ancienne romance (Gérard DE NERVAL)
- La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur (Paul ÉLUARD)
- La froidure paresseuse (Jean-Antoine de BAÏF)
- La grande saison joyeuse (Victor HUGO)
- La lune est rouge au brumeux horizon (Paul VERLAINE)
- La lune fuit devant nos yeux (Théophile DE VIAU)
- La lune s’attristait. Des séraphins en pleurs (Stéphane MALLARMÉ)
- La musique souvent me prend comme une mer (Charles BAUDELAIRE)
- La Nature est un temple où de vivants piliers (Charles BAUDELAIRE)
- La raison du plus fort est toujours la meilleure (Jean de LA FONTAINE)
- La rosée arrondie en perles (Théophile GAUTIER)
- La rue assourdissante autour de moi hurlait. (Charles BAUDELAIRE)
- La surface du pain est merveilleuse (Francis PONGE)
- La terre est bleue comme une orange (Paul ÉLUARD)
- La très chère était nue, et, connaissant mon coeur (Charles BAUDELAIRE)
- Las de l’amer repos où ma paresse offense (Stéphane MALLARMÉ)
- Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite, cours-y vite. Le bonheur est dans le pré. Cours-y vite. Il va filer (Paul FORT)
- Le brouillard a tout mis (Maurice CARÊME)
- Le Capitaine Jonathan (Robert DESNOS)
- Le chapeau à la main il entra du pied droit (Guillaume APOLLINAIRE)
- Le ciel est, par-dessus le toit (Paul VERLAINE)
- Le jeune homme dont l’oeil est brillant, la peau brune, (Arthur RIMBAUD)
- Le matin n’est plus ! le soir pas encore (Gérard DE NERVAL)
- Le noir roc courroucé que la bise le roule (Stéphane MALLARMÉ)
- Le passeur d’eau, les mains aux rames (Émile VERHAEREN)
- Le petit cheval dans le mauvais temps (Paul FORT)
- Le petit enfant Amour (Pierre de RONSARD)
- Le petit homme qui chantait sans cesse (Jacques PRÉVERT)
- Le pré est vénéneux mais joli en automne (Guillaume APOLLINAIRE)
- Le temps a laissié son manteau (Charles D’ORLÉANS)
- Le travail mène à la richesse (Guillaume APOLLINAIRE)
- Le Vierge, le vivace, et le bel aujourd’hui (Stéphane MALLARMÉ)
- Les anges les anges dans le ciel (Guillaume APOLLINAIRE)
- Les cheveux gris, quand jeunesse les porte, (Jean COCTEAU)
- Les fenouils m’ont dit : Il t’aime si (Jean MORÉAS)
- Les hirondelles sont parties (Victor HUGO)
- Les loups mangent gloutonnement (Jean de LA FONTAINE)
- Les muses sont de feu, de cristaux, comme un lustre (Jean COCTEAU)
- Les nuages couraient sur la lune enflammée (Alfred de VIGNY)
- Les sanglots longs (Paul VERLAINE)
- Lit d’amour, faites halte. Et, sous cette ombre haute, (Jean COCTEAU)
- Loin des oiseaux, des troupeaux, des villageoises (Arthur RIMBAUD)
- Loin des oiseaux, des troupeaux, des villageoises, (Arthur RIMBAUD)
- Lorsqu’il faudra aller vers vous, ô mon Dieu, faites (Francis JAMMES)
- Lorsque le jeune aiglon, voyant partir sa mère (Alfred de MUSSET)
M
- Ma femme à la chevelure de feu de bois (André BRETON)
- Ma France, quand on a nourri son coeur latin (Anna DE NOAILLES)
- Ma valise m’accompagne au massif de la Vanoise, et déjà ses nickels (Francis PONGE)
- Maître corbeau, sur un arbre perché (Jean de LA FONTAINE)
- Mauvaise compagne, espèce de morte (Jean COCTEAU)
- Me voici devant tous un homme plein de sens (Guillaume APOLLINAIRE)
- Mignonne, allon voir si la rose (Pierre de RONSARD)
- Millions, millions, et millions d’étoiles (Victor HUGO)
- Moi le joue du piano (Jacques PRÉVERT)
- Mon enfant, ma soeur (Charles BAUDELAIRE)
- Mon verre est plein d’un vin trembleur comme une flamme (Guillaume APOLLINAIRE)
- Mort, j’appelle de ta rigueur (François VILLON)
- Mourir en rougissant (Jacques BREL)
- Murmure autour de ma nacelle (Alphonse de LAMARTINE)
- Muses, qui ne songez à plaire ou à déplaire (Jean COCTEAU)
N
- N’écris pas, je suis triste et je voudrais m’éteindre (Marceline DESBORDES-VALMORE)
- Ne m’interrogez plus. Interrogez ces filles (Jean COCTEAU)
- Noirs dans la neige et dans la brume (Arthur RIMBAUD)
- Noirs de loupes, grêlés, les yeux cerclés de bagues (Arthur RIMBAUD)
- Notre entrelacs d’amour à des lettres ressemble (Jean COCTEAU)
- Notre histoire est noble et tragique (Guillaume APOLLINAIRE)
- Notre vie tu l’as faite elle est ensevelie (Paul ÉLUARD)
- Nous vous en prions à genoux, bon forestier, dites-nous-le ! à quoi reconnaît-on chez vous la fameuse grenouille bleue (Paul FORT)
O
- O Fontaine Bellerie (Pierre de RONSARD)
- O France desolee! ô terre, sanguinaire (Agrippa D’AUBIGNÉ)
- O ma jeunesse abandonnée (Guillaume APOLLINAIRE)
- O rêveuse, pour que je plonge (Stéphane MALLARMÉ)
- O toi ô toi ô toi ô toi (Jean TARDIEU)
- O toison, moutonnant jusque sur l’encolure ! (Charles BAUDELAIRE)
- O vous mes nuits, ô noires attendues (Catherine POZZI)
- Oisive jeunesse (Arthur RIMBAUD)
- On dit : « Triste comme la porte (Alfred de MUSSET)
- Oui, l’oeuvre sort plus belle (Théophile GAUTIER)
- Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant (Guillaume APOLLINAIRE)
P
- Paissez, douces brebis, paissez cette herbe tendre (Pierre de RONSARD)
- Pâle fleur, timide pervenche (Alphonse de LAMARTINE)
- Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers (Arthur RIMBAUD)
- Paris chahute au gaz. L’horloge comme un glas (Jules LAFORGUE)
- Peindre d’abord une cage (Jacques PRÉVERT)
- Percé jusques au fond du coeur (Pierre CORNEILLE)
- Perrette, sur sa tête ayant un pot au lait (Jean de LA FONTAINE)
- Presque nue et soudain sortie (Jean COCTEAU)
- Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame (Victor HUGO)
Q
- Qu’elle était belle, ma Frégate (Alfred de VIGNY)
- Qu’elle soit courtisane, érudite ou dévote (Nadia TUENI)
- Quand chez les débauchés l’aube blanche et vermeille (Charles BAUDELAIRE)
- Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle (Charles BAUDELAIRE)
- Quand le front de l’enfant, plein de rouges tourmentes (Arthur RIMBAUD)
- Quand nous habitions tous ensemble (Victor HUGO)
- Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle (Pierre de RONSARD)
- Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne (Charles BAUDELAIRE)
- Que la soirée est fraîche et douce ! (Victor HUGO)
- Que voulez-vous la porte était gardée (Paul ÉLUARD)
- Qui danse parmi le thym (Cécile PÉRIN)
- Quoi ! Ce n’est plus pour lui, ce n’est plus pour l’attendre (Marceline DESBORDES-VALMORE)
R
- Rappelle-toi Barbara (Jacques PRÉVERT)
- Ribaut, or estes vos a point (RUTEBEUF)
- Rien ne m’effraye plus que la fausse accalmie (Jean COCTEAU)
- Rien ne sert de courir, il faut partir à point (Jean de LA FONTAINE)
- Rue de Seine dix heures et demie (Jacques PRÉVERT)
S
- S’enlaçaient les domaines voûtés d’une aurore grise dans un pays gris, sans passions, timide (Paul ÉLUARD)
- Salut! bois couronnés d’un reste de verdure (Alphonse de LAMARTINE)
- Sans amour, sans amour (Jacques BREL)
- Sans nom es-tu (Suzanne Tanella BONI)
- Sculpteur, cherche avec soin, en attendant l’extase (Théodore de BANVILLE)
- Seigneur, c’est aujourd’hui le jour de votre Nom (Blaise CENDRARS)
- Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx (Stéphane MALLARMÉ)
- Seulete suy et seulete veuil estre (Christine de PISAN)
- Si je mourais là-bas (Guillaume APOLLINAIRE)
- Si toutes les filles du monde voulaient s’donner la main, tout autour de la mer, elles pourraient faire une ronde. (Paul FORT)
- Si vous croyez que je vais dire (Alfred de MUSSET)
- Silence inexprimable (Colette Sènemi Agosssou HOUETO)
- Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille (Charles BAUDELAIRE)
- Soleil, je t’adore comme les sauvages (Jean COCTEAU)
- Sous le pont Mirabeau coule la Seine (Guillaume APOLLINAIRE)
- Sous vos longues chevelures, petites fées (Jean MORÉAS)
- Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage (Charles BAUDELAIRE)
- Sur l’onde calme et noire où dorment les étoiles, (Arthur RIMBAUD)
- Sur la bruyère arrosée (Théophile GAUTIER)
- Sur la bruyère longue infiniment (Émile VERHAEREN)
- Sur le printemps de ma jeunesse folle (Clément MAROT)
- Sur mes cahiers d’écolier (Paul ÉLUARD)
- Surgi de la croupe et du bond (Stéphane MALLARMÉ)
T
- Ta douleur, Du Perier, sera donc eternelle (François de MALHERBE)
- Te regardant assise aupres de ta cousine (Pierre de RONSARD)
- Tel qu’en Lui-même enfin l’éternité le change (Stéphane MALLARMÉ)
- Tout est lumière, tout est joie (Victor HUGO)
- Tout reprend son âme (Victor HUGO)
- Toute allégresse a son défaut (Paul-Jean TOULET)
- Toute blanche dans la nuit brune (Jean RICHEPIN)
- Tranquilles et leur ombre allongée sur les champs, les grands boeufs (Paul FORT)
- Travaillez, prenez de la peine (Jean de LA FONTAINE)
- Trois allumettes une à une allumées dans la nuit (Jacques PRÉVERT)
U
- Un à un (Abdellatif LAABI)
- Un ânier, son sceptre à la main (Jean de LA FONTAINE)
- Un cheval s’écroule au milieu d’une allée (Jacques PRÉVERT)
- Un dormeur ne doit pas parler de qui l’occupe (Jean COCTEAU)
- Un invisible oiseau dans l’air pur a chanté. (Cécile PÉRIN)
- Un jour sur ses longs pieds allait je ne sais où (Jean de LA FONTAINE)
- Un oiseau siffle dans les branches (Théophile GAUTIER)
- Un petit roseau m’a suffi (Henri de RÉGNIER)
- Une aube affaiblie (Paul VERLAINE)
- Une dentelle s’abolit (Stéphane MALLARMÉ)
- Une fois, une seule, aimable et douce femme (Charles BAUDELAIRE)
- Une grenouille vit un boeuf (Jean de LA FONTAINE)
- Une montagne en mal d’enfant (Jean de LA FONTAINE)
- Une tortue était, à la tête légère (Jean de LA FONTAINE)
V
- Va cueillir, villageoise (Victor HUGO)
- Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches (Paul VERLAINE)
- Voici l’aronde passagère (Remy BELLEAU)
- Voici venir les temps où vibrant sur sa tige (Charles BAUDELAIRE)
- Votre âme est un paysage choisi (Paul VERLAINE)
- Vous aviez mon coeur (Marceline DESBORDES-VALMORE)
- Vous les fouilleurs de poubelles (Véronique TADJO)
- Vous y dansiez petite fille (Guillaume APOLLINAIRE)
Y